Je n'avais aucun endroit que je puisse appeler ma ville natale, car j'avais déménagé à maintes reprises depuis mon enfance. Malgré tout, j'avais la nostalgie de ma ville natale et je l'ai projetée à maintes reprises sur des photos prises dans un bain de développement sous une lumière rouge dans une chambre noire. Cependant, pendant que je prenais ces photos, les populations des villages agricoles étaient absorbées par les grandes villes comme main-d'œuvre, et leur population déclinait progressivement. Les années 1970 marquèrent l'effondrement de la communauté villageoise et des relations humaines centrées sur l'agriculture, et la fin du Japon, dans sa vieillesse et sa prospérité.