...À travers l'axe optique d'un objectif aussi transparent qu'un œil de chat sur l'appareil photo extrêmement pratique que je porte, je capture d'un léger mouvement du doigt comment j'appelle le monde, ou comment le monde m'appelle, et ainsi je continue à tourner en rond dans le labyrinthe des rues et des humains de la ville. Être un photographe de rue qui observe intuitivement des scènes, des promenades et des recherches me permet aussi de ressentir un lien possible avec la fiction pure et dure. C'est parce que je me perds souvent et que je suis en colère dans la rue.
 « Si tu veux quelque chose, siffle. » – Humphrey Bogart